lundi 11 janvier 2010

Le job de demain:Community manager

Avec l'arrivée en force des réseaux sociaux dans le quotidien des employés, les entreprises et les administrations vont etre obligées de se mettre à la page. Pour cela, demain la chasse au community manager ou community advisor va commencer.
Ces personnes auront un double rôle:
a) Gérer la visibilité de l'entreprise sur le Net et dans les réseaux
b) Éduquer les employés au bon usage des réseaux sociaux.

Pour le point (a) cela va du ranking (classement dans google) dans les moteurs de recherche à la réputation de l'entreprise sur le Net.

Pour le point (b) : Même en cherchant à bannir l'usage des resaux sociaux (FB, twitter , blog) , l'accès à Internet déborde le cadre du travail (domicile) ou le poste de travail (smartphone) .
Ainsi , plutôt que de vouloir contrôler et censurer par des équipements forcement dépassés, contournés (squid) , l'entreprise doit faire preuve de pédagogie et expliquer à ses employés comment éviter les pièges de ces nouveaux supports.

Cet article ici est titré :
SAP remporte un marché public pour analyser le réseau social des administrations
(site decideo.fr)


On decouvre que SAP lance le projet ARSA :
Hors de question bien sur d’utiliser Facebook ou tout autre réseau international pour héberger nos centaines de milliers de fonctionnaires et assimilés. Ils méritent bien à eux seuls un projet en propre. C’est dans cet esprit que SAP Research va développer ARSA (Analyse des Réseaux Sociaux pour les Administrations).

Les entreprises ou les administrations doivent se montrer pro-active vis à vis de leur visibilité sur le Net , car une fois l'information référencée, il est difficile d'obtenir un droit de réponse ou de faire machine arrière.

Je recommande aux grands comptes d'organiser des séminaires, des formations où vos agent pourront mesurer et voir concrètement leur impact individuel. Et comment ils peuvent contribuer à la bonne réputation de leur entreprise.
Ici un autre article: Qu’est-ce qu’un Community Manager ?

Un article ici en anglais de Chris Brogan.

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