dimanche 31 janvier 2010

Photos panoramiques 360

Sur ce site ici , des photos panoramiques en 360°.
Il suffit d'utiliser la souris pour déplacer le point de vue.



vendredi 29 janvier 2010

Les trois formes du cloud et google

2010 s'annonce comme l'année du Cloud computing. Dans cette partie de Monopoly géante, google est bien placé grâce à sa stratégie globale centrée sur la vente d'espace publicitaire sur des segments.
Il y a différents niveaux de cloud computing:
  • Le IAAS : Infrastructure as a service
  • Le PAAS : Platform as a service
  • LE SAAS :Software as a service

Le IAAS représente la quincaillerie : les serveurs virtuels
Le PAAS , c'est le bus applicatif : les différents composants d'une architecture logicielle (ex: La base de données, le serveur WEB , le serveur applicatif)
Le SAAS: Se sont les progiciels pour répondre au service (messagerie , CMS , ERP etc)

Tout ceci est très bien expliqué dans un post : http://setandbma.wordpress.com/2009/09/03/cloud-strategy/ de Udayan Banerjee (en Anglais)

Et de http://maslintchoonthecloud.blogspot.com/2010/01/appscale.html d'olivier Leclère.



Le service de messagerie gmail de Google est un des meilleurs du moment. Avec ce service Google peut savoir avec qui on communique (adresse mail ) et sur quel sujet (lire ici les règles de confidentialité google). Quitte à avoir une infrastructure et des services taillés à une échelle mondiale , pourquoi ne pas louer une portion de ce service à une entreprise. Ainsi pour quelques dollars par an ET par boite , google vous propose d'héberger tous vos services de messagerie. Dans ce cas de figure, les règle de confidentialité sont plus strictes et protègent vos données. Google s'occupe de tout , plus besoin d'avoir des serveurs , des salles, des frais de maintenance et des factures d'électricité. Vos équipes d'administrations n'auront à gérer que l'aspect fonctionnel du service et non plus le coté technique. C'est du SAAS : Software as a service.

Ici une illustration (clic pour élargir)






je fais confiance à Google pour avoir préparer un plateau de jeu favorable et conforme à sa stratégie
(photo reddit.com )
googolopoly_shot

Montre geek




Pour connaitre la signification des symboles aller sur:

http://blog.websourcing.fr/insolite-horloge-math


Prix de la montre: 25 $ disponible ICI: http://www.uncommongoods.com/item/item.jsp?source=family&itemId=18145

jeudi 28 janvier 2010

Ca commence ipad vs kindle

Dans les tendances twitter , le mot apple progresse. Et pour cause , la sortie de iPAD.




Infographie du site: http://www.crunchgear.com .

Les personnes désirant vraiment lire des livres sur un écran, doivent tenir compte de l'autonomie de l'appareil et du confort de lecture d'un écran inactif. Un écran couleur et bien éclairé est souvent plus fatiguant pour la vision. La faculté d'annoter un livre est aussi pour moi une option importante. Conclusion :échoué sur une ile déserte , le bon vieux bouquin en papier restera toujours votre fidèle compagnon, en état de marche.

lundi 25 janvier 2010

#Rango en #ruby pour singer django


Rango est un autre framework applicatif en Ruby. Il se situe entre Sinatra qui est le framework ultralight en Ruby et rails qui est LE framework complet. Comme Sinatra,il utilise la couche Rack pour le serveur WEB. Son originalité vient du fait qu'il utilise les concepts de DJANGO le framework en Python.
Ainsi dans l'univers Rails l'architecture MVC se traduit par Modèle Vue et Contrôleur (et le modèle au modèle). En Rango comme en Django , la vue correspond au Template , le contrôleur à la vue.
Rango implémente des templates et l'héritage des templates. Il dispose de générateurs ou des modèles de comportement. Ainsi, comme avec Django, il est très facile de developper une application qui necessite une vision utilisateur et une vision administrateur de site.

Clic pour élargir

dimanche 24 janvier 2010

Emulateur en ligne de windows 3.1

Sur le site de Michael Vincent (lien ici) retrouvez un émulation en ligne de windows 3.1. C'est extrêmement bien fait.

Immersion visuelle et réalité augmentée



Sur ce site http://www.immersivemedia.com/ , pouvez vous balader dans les rues de New-york à bord d'un véhicule équipé d'un camera 360 degrés (le lien direct est ici). Le principe est simple, le véhicule se déplace et vous pouvez faire tourner dans toutes les directions le champs de vision avec la souris.

Pour cela la voiture a parcouru les rues avec une batterie de cameras comme celle-ci :



Sur le site http://www.t-post.se/ , Le support de ce magazine est un T-shirt permettant de jouer à RPS (pierre,feuille,ciseaux)



T-Post est aussi le premier magazine qui 'se porte', il est possible de rédiger des articles et de se les faire imprimer sur le t-shirt .


Ce lien ici, recense des sites et des vidéos d'exemple de réalité augmentée dont le célèbre 'parrot' qui se pilote avec un I-phone


samedi 23 janvier 2010

Infographie sur l'utilisation des navigateurs

Sur ce site une superbe visualisation de l'utilisation des navigateurs depuis 2002.

Le casse-tête de la compatibilité de navigateurs

Lorsqu'on développe une application WEB, on se trouve tot ou tard confronté au problème de la compatibilité du navigateur du poste client. Situation qui s'aggrave avec le l'essor des smartphones. D'autres facteurs sont à prendre en compte comme l'arrivée de la norme HTML5, la progression inéluctable de l'utilisation du javascript et d'Ajax. La place du développement javascript va devenir prédominante dans les prochaines années, dopée par la puissance du moteur javascript. 2009 a été l'année ou la puissance d'une application javascript a dépassé celle d'une application WEB classique.
Il est difficile d'avoir des pages qui se comportent de la même manière dans tous les navigateurs. Je ne parle pas de l'incompatibilité des versions IE entres elles (IE6 restera le plus mauvais navigateur de tous les temps, Firefox peut lui dire merci).

Le blog http://webdesignledger.com/ dresse la liste d'outil pour tester un site web avec différents OS/Navigateur. L'article est ici (suivre ce lien).

J'ai testé http://browsershots.org/ sur l'adresse http://germanlinux.blogspot.com
Il est possible de choisir les associations OS-Navigateur-Version.
Voici les copies d'écran:
(clic pour élargir)

Les résultats s'affichent au fur et à mesure
(clic pour élargir)


Le traitement peut durer plus d'une heure en fonction du nombre de combinaisons.
Par contre, le test d'un site INTRANET reste impossible avec cet outil.
Mes conseils pour avoir une compatibilité maximum :
  • Remettre les marges à zéro par le biais des feuilles de style.
  • Utiliser des librairies javascripts reconnues et non pas des montages personnels.
La détection rapide au plus près de la phase de développement est préférable. Un coefficient multiplicateur par 10 s'applique pour chaque phase suivante.

jeudi 21 janvier 2010

Les règles de base du management cours 101



La Geeks world domination commence par la prise de contrôle des leviers du pouvoir: Ne restez pas devant votre clavier, le yeux rivés sur votre code, ou sur le dernier épisode de Big Bang théory, NON , levez vous et participez .


J'ai investi dans des livres de management. En faisant ce raisonnement simple:
S'il est possible d'arriver à comprendre comment configurer un serveur sendmail grâce à un livre, tout peut s'apprendre de cette manière.

Relevé sur un forum :

Je veux bien t'expliquer ce que je sais de sendmail, mais je n'en connais qu'une toute petite partie. Je n'utilise sendmail que lorsque l'on ne peut pas faire autrement (sendmail déjà installé et personne n'ose s'y aventurer, mais on ose pas le remplacer). Sendmail est historiquement le pionnier, je l'ai déjà utilisé sous Unix V, et il est très complet et très complexe. (Voir ici. configurer sendmail plus d'une fois rend fou
Chez o'reilly :
le livre sendmail fait 1232 pages.
le livre postfix 285 pages.

Dernière modification par pmarion (01/04/2008 15:54:18)


J'ai les livres "le management pour les nuls" , "100 trucs pour bien manager" etc , bref la collection de base.

Voici un début relevé sur un site US :

Quelques règles de management:

1) Déléguez et laissez faire les gens à leur façon
2) Gérez plus par les résultats que sur la manière de faire
3) Donnez toute la latitude au personnel pour faire les choses
4) Ayez confiance dans le jugement des gens qui sont compétents dans leur domaine
5) Gérez l'intendance et laissez les tranquilles
6) Donnez leur des objectifs
7) Soyez ouvert aux idées et aux suggestions
8) Félicitez les pour leur réussite
9) Laissez les faire des erreurs et en tirer les enseignements
10) Déchargez les des taches de gestion administratives
11) Ne soyez pas intrusif
12) Respectez les gens
13) Favorisez la diffusion des informations
14) Faire évoluer les personnels sur des nouveaux projets.
15) Encouragez les actions de formation croisées.


La liste est trop longue, je vais commencer par la règle numéro 1:

1) Écouter les gens.

Écouter, ce n'est pas:

  • Commencer par réfléchir à une réponse pendant que l'autre personne parle.
  • Chercher à avoir le dernier mot.
  • Faire autre chose pendant qu'on vous parle

C'est plutot:
  • Etre attentif !
  • A la fin faire une synthèse pour soi de ce que l'on vient d'entendre.

Chacun à quelque chose d'intéressant à dire. Celui qui parle n'écoute pas.

lundi 18 janvier 2010

Talend , après les ETL, le MDM

ETL c'est :Extract, transform and load, extraction, transformation et chargement de données, le MDM (Master data management, gestion des données de référence) est l'étage superieur de la fusée. C'est la gestion de tout le cycle de la donnée, comme la tracabilité, les indicateurs de qualité de la donnée, le référentiel des données, la modélisation et la gestion des Métadonnées.

L'idée est de considérer la donnée d'un point de vue industriel. C'est à la fois une ressource et un produit manufacturé. Avec des problèmes de gestion de stock, de fabrication, de diffusion ou de protection.

(Source le monde informatique)

dimanche 17 janvier 2010

Comment les éditeurs se préparent à conquérir le marché des réseaux sociaux et collaboratifs professionnels

La société SAP lance des offensives pour se placer sur le marché des outils collaboratifs à destination des professionnels.
Par exemple son produit SNA Social Network Analyser







Les sources sont par exemple un annuaire LDAP d'entreprise.
Avec une démonstration en ligne ici.

Autre projet SAP :
SAP’s 12sprints, outil collaboratif (partage de données et de document) (le lien ici)




SAP offre aussi un utilitaire gratuit pour intégrer des composants twitter dans une présentation powerpoint (lien ici).



Pour rappel SAP prépare une offre globale avec le projet ARSA à destination des collectivités territoriales.

De son coté la firme tibco lance son produit 'tibbr' qui est un twitter d'entreprise. Il permet outre les fonctions de microblogging d'échanger des messages avec des applicatifs ou des serveurs.



IBM, pousse son produit 'Lotus Connections' qui englobe 5 composants à destination du WEB 2.0 dans l'entreprise, article à lire :"IBM introduit dans l'entreprise les outils du Web 2.0"
Source: Le Monde informatique.

Interface Sinatra en #ruby pour #twitter


Sinatra (lien ici) est un framework léger pour ruby. Léger n'est pas un terme galvaudé pour un framework de moins de 2000 lignes de code. Il repose sur le produit 'Rack' pour la partie serveur WEB.

L'installation se fait par un gemme : gem install sinatra

Et voci le code d'une page minimaliste:
a) Lancer le programme suivant:
(imsinatra.rb)
require 'rubygems'
require 'sinatra'
get '/' do
"Hello,I'm Sinatra!"
end

Puis pointer votre navigateur sur
http://localhost:4567
Sinatra n'est un framework MVC comme Rails , simplement il décompose et traduit une URL en appel de fonction du programme en Ruby.

Le programme en question est composé de clause de type
'ordre HTTP' 'motif' do
#some actions here
end

Ex :
get '/about' do
"exemple de page"
end

Un peu à la manière des langages fonctionnel, c'est la première reconnaissance de motif valide qui traitera la requête. Il faut donc veiller bien ordonnée ses clauses.
Le système est construit sur des routes de type REST, à savoir:
L'url /projets/lemonldap pourra est interceptée par :
get '/projets:nom_du_projet'
#ici la variable params[:nom_du_projet] aura la valeur "lemonldap"


Il est possible d'enrichir la recherche de motif par l'utilisation de mot clé comme :capture combiné avec des expressions régulières.
Ex: get %r{motif_a_rechercher}
puis params[:captures]

Et d'utiliser des caractères 'joker' comme '*' avec le symbole :splat

La reconnaissance de motif peut s'utiliser en conjonction avec le contenu des entêtes HTTP comme par exemple le header 'User-Agent' lié à la variable :agent , et le header 'accept' lié au symbole :provides.
Il est possible d'appeler des vues et des templates depuis un script Sinatra et même de se servir Activerecord pour gérer ses accès aux bases de données. C'est peut là où doit s'arrêter l'usage de Sinatra pour passer à une infrastructure MVC avec Ruby On Rails.
A mon avis Sinatra doit être réservé à l'écriture d'interface web de configuration ou comme frontal à des applications sans base de données.
On peut l'utiliser pour visualiser les tweets collectés sur l'échantillon twitter.

voici un exemple:
On commence par lancer la commande curl de cette manière:
rl http://stream.twitter.com/1/statuses/sample.json -uuser:password -o /tmp/twitter.json


Puis lancer le script suivant:


#!/usr/bin/ruby
require 'rubygems'
require 'json'
require 'tweet'
require 'sinatra'
get '/' do
chaine="<html><body>"
File.open("/tmp/twitter.json" ).each_line do |line|
line.chomp!

next if !line[-1].respond_to?(:chr)

if (line[-1].chr == "}") then
jo= JSON.parse(line)
my_tweet=Tweet.new do |t|
t.tweet = jo
end
if (my_tweet.text) then
chaine += "<p><hr>"
chaine += my_tweet.user["screen_name"]
chaine +="(#{my_tweet.user["followers_count"]}):"
chaine += my_tweet.text

end
end
end
chaine+="</body></html>"
chaine
end

(remarque : la classe 'tweet' a déja détaillée dans des posts précédents)
Ci tout va bien vous devez voir ceci :(clic pour élargir)



Ou ce bon message d'erreur:(clic pour élargir)

jeudi 14 janvier 2010

La cartes des évolutions des bases de données et du web 2.0



Je me suis amusé à dresser une carte freemind des différents systèmes de base de données. Le web 2.0 à poussé le jusqu'au bout de leurs limites les bases de données relationnelles. Les réseaux sociaux ont fait voler en éclat les limites du volume des données et des requetes. Les SGBDR semblent en recul au profit de système plus adapter au stockage de contenu documentaire taggé.

Mais il manque sur cette carte le système utilisé par twitter. Mais est ce que twitter a vraiment besoin d'une base de données ?. Le fonctionnement s'apparente plus à un logiciel de messagerie avec des files d'attente. Question à creuser

Les systèmes prometteurs :
couchDB et mongoDB
Ici un lien de comparaison. entre les deux bases.

mardi 12 janvier 2010

Les interfaces de twitter (API) #twitter




Le circuit sur twitter est le suivant:
a) Un message arrive sur le réseau Twitter.
b) Il est injecté dans la base de données Twitter
c) S'il répond à certains critères (réputation,pertinance,hastag ) il est rentré dans la base de recherche.
I) Le 'sample' est l'échantillonnage offert aux utilisateurs de twitter ('gardenhose')
II) Le 'filter' est l'interface de recherche basé sur des mots clés , de la geolocalisation, tous les tweets sont candidats à cette recherche.

Il faut ajouter à cela le 'firehose' qui est flux issu directement des tweets (plus exhautif que le sample).

Ceci est issu du blog suivant:Social Media Analytics Research Toolkit

lundi 11 janvier 2010

Le job de demain:Community manager

Avec l'arrivée en force des réseaux sociaux dans le quotidien des employés, les entreprises et les administrations vont etre obligées de se mettre à la page. Pour cela, demain la chasse au community manager ou community advisor va commencer.
Ces personnes auront un double rôle:
a) Gérer la visibilité de l'entreprise sur le Net et dans les réseaux
b) Éduquer les employés au bon usage des réseaux sociaux.

Pour le point (a) cela va du ranking (classement dans google) dans les moteurs de recherche à la réputation de l'entreprise sur le Net.

Pour le point (b) : Même en cherchant à bannir l'usage des resaux sociaux (FB, twitter , blog) , l'accès à Internet déborde le cadre du travail (domicile) ou le poste de travail (smartphone) .
Ainsi , plutôt que de vouloir contrôler et censurer par des équipements forcement dépassés, contournés (squid) , l'entreprise doit faire preuve de pédagogie et expliquer à ses employés comment éviter les pièges de ces nouveaux supports.

Cet article ici est titré :
SAP remporte un marché public pour analyser le réseau social des administrations
(site decideo.fr)


On decouvre que SAP lance le projet ARSA :
Hors de question bien sur d’utiliser Facebook ou tout autre réseau international pour héberger nos centaines de milliers de fonctionnaires et assimilés. Ils méritent bien à eux seuls un projet en propre. C’est dans cet esprit que SAP Research va développer ARSA (Analyse des Réseaux Sociaux pour les Administrations).

Les entreprises ou les administrations doivent se montrer pro-active vis à vis de leur visibilité sur le Net , car une fois l'information référencée, il est difficile d'obtenir un droit de réponse ou de faire machine arrière.

Je recommande aux grands comptes d'organiser des séminaires, des formations où vos agent pourront mesurer et voir concrètement leur impact individuel. Et comment ils peuvent contribuer à la bonne réputation de leur entreprise.
Ici un autre article: Qu’est-ce qu’un Community Manager ?

Un article ici en anglais de Chris Brogan.

dimanche 10 janvier 2010

L'iphone et ses nombreuses applications: pas forcement que du bon

Lorsqu'on compare les smartphones, le nombre important d'application pour l'iphone est souvent présenté comme l'argument absolu. De nombreuses Start up se sont jetées sur cette niche en espérant la transformer en mine d'or. Les grosses entreprises commandent hâtivement des applications pour servir de vitrine et pour marquer leur territoire. Attention, ce phénomène ne sera qu'un feu de paille.

Et ce gros portefeuille applicatif va finir par géner Apple pour faire évoluer sa gamme. En effet que suppose l'investissement par un éditeur dans le développement d'une application sur un iphone ? Tout simplement la stabilité de la plateforme. Si Apple fait évoluer ses téléphones, le constructeur devra garantir une compatibilité de comportement. Apple a réussi à éviter la fragmentation de son offre en délivrant au compte goutte des technologies éprouvées (avec l'absence de vidéo dans le premier iphone). Apple est obligé de freiner l'intégration des nouvelles technologies dans ses produits. Mais cela lui permet aussi de sortir un nouveau téléphone tous les six mois sans faire des gros investissements en R&D. Pour que les éditeurs ne se retrouvent pas captifs dans ce modèle, ils doivent changer d'architecture: passer des applications autonomes à des web applications (lire ici le très bon post "Les Web-App, l’avenir de l’application mobile" de christophe lefevre .

Ce modèle d'application est comme par hasard celui préconisé par google pour son OS android. La boucle est bouclée avec ses googleApp.

samedi 9 janvier 2010

La stratégie de google pour promouvoir googlewave


(wave pong)

J'ai découvert hier l'annonce du rachat d'Etherpad par Google. Cette information illustre la manière de procéder de google pour arriver à imposer ses technologies dans le domaine du travail collaboratif.

A l'origine la solution Etherpad de collaboration sur un espace partagé, était meilleure que le patchwork googlewave. Etherpad ne sait faire qu'une chose mais il le fait bien. Je l'ai testé en situation réelle avec une vraie plus-value (lire mes posts). Pour waves , google a d'abord cherché à faire du bruit autour (buzz) en distillant au compte goutte les invitations. L'opération a réussie. Par contre avec maintenant un nombre important de compte waves, le service a pourtant du mal à décoller. Ce n'est pas forcement mieux qu'une messagerie, ni d'une messagerie instantanée, il n'y a pas encore une 'killer' application. La réunion dans un gros bazar de tous les services collaboratifs n'est pas forcement la meilleure solution (voir le produit Domino/Notes d'IBM de la dernière décade ). Pris individuellement les services waves sont 'moyens'. On s'amuse un peu avec le jeu d'échec, le pong , par contre la synchronisation avec un blog ne fonctionne toujours pas. En rachetant Etherpad et en offrant le code à la communauté opensource, google poursuit sa stratégie du "Less than Free". Cette démarche en la même que celle qui a permis à google d'assoir son hégémonie sur le monde de la cartographie. Que cherche Google ? , à vendre sa marchandise: des espaces publicitaires sur des domaines parfaitement segmentés grâce aux métadonnées issues de l'indexation des informations.
Nous avons la confirmation que Googlewave n'est pas un gadget de plus dans la collection de google, il s'intègre parfaitement dans la roue de la fortune de google (voir ancien post ) et il aura un rôle moteur dans le développement de la firme de Mountain view.

jeudi 7 janvier 2010

Parrot is not parrot (gadget)




Ca ressemble à une soucoupe volante, ca se pilote avec un iPhone.



Il est compatible avec des logiciels de réalité augmentée.




Le site web est ici.
A ne pas confrondre avec le projet Parrot qui supportera Perl6 dont le logo ressemble au drome en version carénée :

mercredi 6 janvier 2010

gigya : l'api des apis.

Le site Gigya propose une API qui permet de s'authentifier sur les sites sociaux suivants:

MySpace Facebook Yahoo Friendster
Orkut Bebo WordPress Blogger
Hi5 Tagged LiveSpaces Piczo
Freewebs Livejournal BlackPlanet MyYearbook
TypePad Xanga Multiply iGoogle
Netvibes Pageflakes MiGente Vox
Ameba Livedoor Eons overblog


Par l'ajout du composant visuel sur votre site, vos utilisateurs pourront s'authentifier aupres de leurs site habituel. C'est en fait une API qui vient en surcouche de 12 autres API (Facebook,yahoo etc)



Outre le service d'authentification Gigya propose des interactions avec certains sites comme facebook.

Un article dans Rails magazine n° 5 détaille son utilisation dans Ruby on Rails.

mardi 5 janvier 2010

lundi 4 janvier 2010

Intelligence collective, reseaux sociaux: le mirroir aux alouettes ?

Michel Serres, un des plus grands penseurs de notre époque, a déclaré sur France Info la semaine dernière:
L'humanité a connu trois grandes inventions : l'invention de l'écriture , de l'imprimerie et de l'informatique. Chacune de ces inventions a généré des nouveaux modes de pensée. L'imprimerie n'a pas 'tué' l'écriture elle l'a englobée, il en sera de même pour l'informatique et le livre.
Les ordinateurs et surtout Internet ont permis de révéler une nouvelle forme d'intelligence: L'intelligence collective. Mais sans être pessimiste, l'intelligence collective s'accompagne souvent du revers de la médaille :la connerie collective.
Hélas ces deux notions sont indissociables. Pour moi, les réseaux sociaux permettent simplement de mettre en commun des idées. Deux personnes ayant chacun une idée repartiront chacun avec deux idées, encore faut il avoir des idées et surtout les exploiter. Quand tout le monde parle en même temps, notre oreille et notre cerveau décrochent et nous transmettent un brouhaha vide de sens. Il est en de même avec les réseaux sociaux, une pluie de liens, de news, d'information déferle sous nos yeux et nous donne l'illusion de surfer sur cette vague, de la maitriser mais ce n'est qu'un mirage. etre membre d'un réseau social, ce n'est pas seulement relayer une information (un lien),c'est aussi faire essayer d'apporter une plus-value. A l'origine de ces informations, il y a eu quelqu'un qui a fait un effort de création, de partage, le réseau doit être plus qu'une caisse de résonance . Je suis particulièrement attristé par le gaspillage d'énergie, d'intelligence induit par facebook , twitter et autre.
L'erreur fréquente est d'utiliser twitter comme une rivière, et non pas comme une fontaine. Il est vain de chercher à boire tout ce flot, on doit se contenter hélas de prélever quelques verres de temps en temps. Les eaux de twitter, ne sont pas des eaux pures, c'est beaucoup de matière recyclée et déjà pas mal de spam, mais cela reste toutefois une bonne matière première.
Pour organisé ses flux, un série d'outils est indispensable:







Peu de ces produits sont en opensource. Twitter lui même, peut du jour ou lendemain changer de politique.

Il existe des alternatives 'libres' comme http://identi.ca qui se veut une alternative à twitter, mais avec quelle audience ?.

Sachant qu'aux USA, les tweets sont relayés sous forme de SMS , je me demande comment font les abonnés pour gérer leur téléphone.